Accompagnement Transgénérationnel Psychogénéalogique

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« J’ai coutume de dire que les êtres humains sont comme des vaches : ils ruminent, et ils le font toute leur vie et sur plusieurs générations. Ils ruminent leurs secrets de famille, leurs deuils non faits et leurs bonheurs passés, leurs sentiments d’injustice, leurs rancoeurs, etc…
Et jusqu’à ce qu’ils cessent de ruminer, jusqu’à la levée du secret, l’histoire familiale se répète. »
Anne Ancelin Schtützenberger
   *

- Une exploration transgénérationnelle ne peut se faire sans avoir auparavant éliminé tout problème pathologique majeur ou latent avec le corps médical, je conseille fortement d'avoir consulté un "médecin" ou un psychologue avant de se tourner vers des pratiques dites alternatives.

Il existe bien des raisons au fait que nous sommes mal dans nos vies, et si nous devons toujours prendre la responsabilité de ce qui nous arrive, nous avons avec le travail du transgénérationnel un moyen d'investiguer une base de donnée vaste et informative sur la vie de nos aïeux.
La psycho généalogie, le travail sur le transgénérationnel (l'héritage du clan familial), est une piste de travail intéressante lorsque l'on a fait le tour du travail sur soi et que subsistent des blocages dans notre vie.
Que vous ayez remarqué une répétitions des évènements ( décès prématurés, faillites, peurs et blocages, instabilité, infécondité ou difficultés à avoir des enfants, inceste et viols...), que vous ressentiez quelque chose sur lequel vous n'arrivez pas à mettre des mots, que vos enfants vous parlent de choses étranges en lien avec votre vie ou celles de vos parents, est un signe qu'il y a une transmission, un héritage qui n'est pas souhaitable d'honorer et de conserver.

Les personnes qui se tournent en principe vers le travail du transgénérationnel viennent parce qu’elles ressentent des souffrances corporelles et/ou psychiques, ou des blocages.
Ce travail permet de se réapproprier son histoire personnelle et familiale, de mettre de l’ordre dans l'arbre généalogique sans juger qui que ce soit, car le but est de libérer pas d'enfermer quelqu'un dans un rôle.
Comme dans tout héritage, on reçoit du bon, du mauvais, du dangereux, de l’inutile, nos ancêtres on fait comme ils ont pu avec ce qu'il avait comme capacités à faire face au moment ou l'impensable s'est produit pour eux. Qu'ils n'aient pas réussit à se dépatouiller, à se libérer, qu'ils aient commis l'irréparable reste quelque chose qui  leur appartient.
Une fois que nous avons observé l'histoire qui s'est joué, on peut choisir en conscience ce que l’on garde et de se débarrasser de ce qui nous encombre.

 De nombreux outils nous permettent cette exploration du passé ; que nous connaissions ou pas nos ancêtres, d’ailleurs.

Comment j'en suis venue a travailler sur l'aspect transgénérationnel de mes consultations ?
Après avoir eu des infos lors des guidances, ou je reçois des visions, ou je vois des scènes du passé, ou les défunts me parlent, j'ai ressentis le besoin de proposer à mes consultants une approche pour les aider à libérer les traumas, les devoirs de mémoires, les blocages, les héritages injustes et figeants.
Etant thérapeute Holistique et travaillant avec des outils Chamaniques et de canalisation, j'ai d'abord utilisé mes capacités en interrogeant les énergies des gens pour glaner des infos qu'ils n'ont pas en leur possession, puis en pratiquant des soins sur les différents corps et surtout sur le corps mémoriel pour couper les liens nocifs, et enfin sur l'arbre aux ancêtres ou l'on permet à chacun de reprendre sa place dans l'arbre (très important pour les fausses couches et les enfants mort jeunes par exemple) et d'incarner sa propre existence libre de tout engagement ou devoir.
Puis voyant qu'il me manquait des éléments pour aider mes consultants à faire leur part de travail (puisque c'était surtout moi qui travaillais dans l'énergie subtil des corps de mémoires), j'ai cherché des méthodes me permettant de leur offrir la possibilité d'être actif dans le processus et dans l'ici et maintenant.
J'ai donc mis en place de petits rituels que je leur propose de faire.
J'ai aussi pris le temps de me former, de m'informer sur le psycho généalogie, que j'ai ajouter à ma pratique surtout pour la partie "enquête", parce que cela rend les chose plus tangible pour les personnes qui ont besoin de voir pour croire (ce qui est tout à fait normal !), ou du moins de comprendre pour activer un mécanisme conscient de ce qui à lieu dans l'inconscient du Clan familial.


Lors d'un travail en transgénérationnel on a plusieurs rdv (2-3 selon les cas), un rdv découverte ou l'on pose les bases de ce qui est à investiguer, en principe je laisse quelques jours /semaines pour que les informations se posent et que si besoins le consultant ai le temps d'interroger la famille sur de faits, ou de voir ce qui émerge suite à la "mise en route" de cette envie de réharmoniser les clan familial (déjà beaucoup des choses peuvent survenir dès la prise de rdv !), puis vient le temps du soin, des coupures de liens, des rituels, un rdv retour suite à ce qui a été fait et mis en place, puis un rdv suivi pour faire le point de ce qui bouge et se met en place suite à ce travail.
NB: je en reste pas figée sur ce déroulé, je m'adapte à chaque individu et à chaque histoire, les rdv, leurs nombres, les soins et coupures sont donc ici à but informatif uniquement.

Comment prendre rdv :

-Régler soit via PayPal, par CB (pas d'obligation d'avoir un compte pour ça, ou par chèque (avec un délai de réception et d'encaissement de quelques jours), par chèque.
-Une fois l'inscription validée, un mail de confirmation avec des identifiant et mot de passe permettent d'accéder à l'espace membre pour avoir accès à la facture et au document word qui est à me renvoyer complété par mail pour prendre rdv.

 Je ne donne pas de rdv tant que je n'ai pas ce doc, il contient tous les éléments dont nous avons besoin pour échanger et  nous contacter.



*Pour information :

Le terme de « Psychogénéalogie » a été créé dans les années 1980 par Anne Ancelin Schützenberger, psychanalyste, professeur de psychologie à l’Université de Nice. Elle souhaitait alors faire comprendre à ses étudiants (des médecins et des travailleurs sociaux) l’importance des liens familiaux, l’importance dans nos vies de la transmission transgénérationnelle.
D’autres, avant elle, avaient exploré cette voie en mettant en avant la notion de « fantôme familial ».

Le « fantôme familial » est défini comme la trace dans l’inconscient d’un descendant du secret inavouable d’un ou plusieurs de nos ancêtres, d’actes ou de chemins de vie inachevés, se manifestant par des symptômes
physiques, des phobies ou des obsessions, par des paroles ou des actes inexplicables. On pourrait comparer cela à « une grenade dégoupillée transmise de génération en génération sans forcément faire de dégâts visibles jusqu’à ce qu’elle éclate sous la forme de phénomènes pathologiques incompréhensibles» ; ou, plus familièrement, « une patate chaude dont on se débarrasse sur le suivant ».



 

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